Sélection à chaud
Deux petits commentaires :
- Antoine trouve le nouveau Brora 30 léger ? Euh...
- Clynelish 1973 Prestonfield, pas Clynelish à mon avis, mais Brora. 'Trop' tourbé et pas assez sur les fruits frais pour être un vieux Clynelish à mon humble avis. Ou alors, à la limite, du mash destiné à Brora distillé à Clynelish.
- Antoine trouve le nouveau Brora 30 léger ? Euh...
- Clynelish 1973 Prestonfield, pas Clynelish à mon avis, mais Brora. 'Trop' tourbé et pas assez sur les fruits frais pour être un vieux Clynelish à mon humble avis. Ou alors, à la limite, du mash destiné à Brora distillé à Clynelish.
Serge a ecrit :
Tony
Pour que cette situation se produise, il aurait fallu qu'ils ne disposent que d'un mash pour les 2 distilleries (ou encore que le mash de Clynelish, la nouvelle unité de production, soit défaillant)! Penses tu vraiment que ça ait existé?du mash destiné à Brora distillé à Clynelish
Tony
Tony, tu verras sur des photos que les deux distilleries étaient reliées par des tuyaux aériens. Il ne me semble pas impossible que des mash destinés à l'une aient pu être 'washés' et distillés à l'autre.ttn a écrit :Serge a ecrit :Pour que cette situation se produise, il aurait fallu qu'ils ne disposent que d'un mash pour les 2 distilleries (ou encore que le mash de Clynelish, la nouvelle unité de production, soit défaillant)! Penses tu vraiment que ça ait existé?du mash destiné à Brora distillé à Clynelish
Tony
L'autre possibilité est que ce soit simplement du Brora, même si le fût était stencilé Clynelish comme nous avons pu le voir au Live.
Ce ne sont que des supputations mais franchement, au goût...
Je pense que l'on ne peut rien exclure, les deux distilleries étant sur le même site et disposant d'équipements similaires (sauf le refroidissement).
Je complète tes options : ou que les commandes selon les spécifications de l'une ou l'autre soient trop importantes pour les capacités de production et que l'on décide de faire fonctionner l'une temporairement en appoint de l'autre.ttn a écrit :Serge a ecrit :Pour que cette situation se produise, il aurait fallu qu'ils ne disposent que d'un mash pour les 2 distilleries (ou encore que le mash de Clynelish, la nouvelle unité de production, soit défaillant)! Penses tu vraiment que ça ait existé?du mash destiné à Brora distillé à Clynelish
Tony
C'est drôle, j'ai trouvé le nez assez fidèle à Clynelish.Serge a écrit :Deux petits commentaires :
- Antoine trouve le nouveau Brora 30 léger ? Euh...
- Clynelish 1973 Prestonfield, pas Clynelish à mon avis, mais Brora. 'Trop' tourbé et pas assez sur les fruits frais pour être un vieux Clynelish à mon humble avis. Ou alors, à la limite, du mash destiné à Brora distillé à Clynelish.
Cela dit, il est vrai qu'il me semble (dans mon souvenir olfactif) que les notes animales/fermières étaient plus marquées que les notes fruitées. Est-ce le côté "Brora" que tu évoques ?
Quant à la bouche, je l'ai trouvé décevante, trop tranchante et manquant de complexité, et l'ensemble pas super équilibré...mais honnêtement, j'aurais certainement dû le sampler celui là pour lui donner le temps de se faire apprécier !!
C'est un vénérable Clynelish de la belle époque, tout de même !!!!
ET toi, tu as "aimé" ?
a+
"J'ai fait un régime en ne buvant plus et en mangeant très léger ; en quinze jours, j'ai perdu deux semaines"
Joe E. Lewis
Joe E. Lewis
- Marc el catalan
- Maître distillateur
- Messages : 556
- Inscription : 14 févr. 2005, 16:23
En retard, voici mes impressions : super WL , un très bon cru et de très jolie choses à déguster.
Ma Palme d'or du WL est le Dalmore 50 ans mais vu son prix on peut le classer en Hors Compétition (et encore merci à Smokey Kong un autre gentleman du Whisky).
Mention "tuerie" pour le Bowmore 1964 mais lui aussi Hors Compétition.
N°1 toutes catégories : Bunnahabhain 1968 DT - 37 ans - 42,1% / Beaucoup de fruit, de douceur marine, du moelleux, un super rapport qualité prix. Assurément une autre "tuerie" du WL.
le Nikka peated and sherry - 63% m'a aussi fait une super impression
Sur le stand de MDW :
J'ai beaucoup aimé le Brora 5th release, le Longmorn 72 G&M, le Clynelish Prestonfield 73 - 33 ans - 54,3%, et Port Ellen 78 6th release 54,2%.
j'ai été enthousiasmé par Gordon & McPhail, un super Bowmore pardon un Secret Stills Islay 45%, Strathisla 21 ans (une autre des tueries du WL), et j'ai vraiment accroché sur le Glen Keith 67 G&M.
en OB je peux difficilement me faire une idée sur les Lagavulin & Taslisker 30 ans, j'en ai eu tellement.
Chez Berry Bros :
Prix spécial pour le Caol Ila 1996 Berry Bros / John Milroy selection - 10 ans - 46% , un bon jeune Islay simple et sans prétention et pour le Carsebridge 1965 Berry Bros - 41 ans - 46%.
Chez DT, le Bunna bien sur mais aussi le caperdonich.
Moi aussi j'ai été déçu par le Glen Grant 1957.
J'ai pas encore tout compris du Glenfiddish 74 - 53,4%, du Highland Park 77 - 48,5% et du Ardbeg 74 - 52,5% (mais bon j'en ai en fiole et je pourrais y revenir bientôt)
J'ai aussi un sample Port Ellen 19 ans GALLO et j'ai bien aimé aussi le Benriach 25 ans - 46%.
Et puis j'ai été très content de tous vous voir :D sauf P.Nicolas
Ma Palme d'or du WL est le Dalmore 50 ans mais vu son prix on peut le classer en Hors Compétition (et encore merci à Smokey Kong un autre gentleman du Whisky).
Mention "tuerie" pour le Bowmore 1964 mais lui aussi Hors Compétition.
N°1 toutes catégories : Bunnahabhain 1968 DT - 37 ans - 42,1% / Beaucoup de fruit, de douceur marine, du moelleux, un super rapport qualité prix. Assurément une autre "tuerie" du WL.
le Nikka peated and sherry - 63% m'a aussi fait une super impression
Sur le stand de MDW :
J'ai beaucoup aimé le Brora 5th release, le Longmorn 72 G&M, le Clynelish Prestonfield 73 - 33 ans - 54,3%, et Port Ellen 78 6th release 54,2%.
j'ai été enthousiasmé par Gordon & McPhail, un super Bowmore pardon un Secret Stills Islay 45%, Strathisla 21 ans (une autre des tueries du WL), et j'ai vraiment accroché sur le Glen Keith 67 G&M.
en OB je peux difficilement me faire une idée sur les Lagavulin & Taslisker 30 ans, j'en ai eu tellement.
Chez Berry Bros :
Prix spécial pour le Caol Ila 1996 Berry Bros / John Milroy selection - 10 ans - 46% , un bon jeune Islay simple et sans prétention et pour le Carsebridge 1965 Berry Bros - 41 ans - 46%.
Chez DT, le Bunna bien sur mais aussi le caperdonich.
Moi aussi j'ai été déçu par le Glen Grant 1957.
J'ai pas encore tout compris du Glenfiddish 74 - 53,4%, du Highland Park 77 - 48,5% et du Ardbeg 74 - 52,5% (mais bon j'en ai en fiole et je pourrais y revenir bientôt)
J'ai aussi un sample Port Ellen 19 ans GALLO et j'ai bien aimé aussi le Benriach 25 ans - 46%.
Et puis j'ai été très content de tous vous voir :D sauf P.Nicolas
si si, tu as mal lu, à côté du brorattn a écrit :Joli "tableau de chasse" Antoine! Dans toute cette liste tu ne parles pas du Port Ellen 6e du nom : c'est parce que tu ne l'as pas oublié (cocher la réponse A ), que tu ne l'as pas gouté ou que tu ne l'as pas aimé?
Quels malts t'ont déçus?
Tony
lesquels m'ont déçu.. ben jsutement j'avais fait une préliste, de manière à pas tomber sur les daubes, styles trucs indien ou dans le genre..
sinon, j'ennai dégusté 80 en tout et ceux qui m'ont le moins plus c'est old pulteney de chez g&m et miyagikio sc 1992/2006 coffe grain.. et aussi P&M corse, qui ont quand même obtenu 3 étoiles.. donc pas de daubes en fait..
quand je dis léger, je veux dire qu'il passe pour moi aussi bien apéro que digestif.. et que l'alcool était bien fondu..Serge a écrit :Deux petits commentaires :
- Antoine trouve le nouveau Brora 30 léger ? Euh...
- Clynelish 1973 Prestonfield, pas Clynelish à mon avis, mais Brora. 'Trop' tourbé et pas assez sur les fruits frais pour être un vieux Clynelish à mon humble avis. Ou alors, à la limite, du mash destiné à Brora distillé à Clynelish.
et tu me rassures pour le Clynelish , moi qui pensais enfin les apprécier à leur juste valeur , encore un coup dns l'eau
Hello Mitsuyan,mitsuyan a écrit :C'est drôle, j'ai trouvé le nez assez fidèle à Clynelish.Serge a écrit :Deux petits commentaires :
- Antoine trouve le nouveau Brora 30 léger ? Euh...
- Clynelish 1973 Prestonfield, pas Clynelish à mon avis, mais Brora. 'Trop' tourbé et pas assez sur les fruits frais pour être un vieux Clynelish à mon humble avis. Ou alors, à la limite, du mash destiné à Brora distillé à Clynelish.
Cela dit, il est vrai qu'il me semble (dans mon souvenir olfactif) que les notes animales/fermières étaient plus marquées que les notes fruitées. Est-ce le côté "Brora" que tu évoques ?
Quant à la bouche, je l'ai trouvé décevante, trop tranchante et manquant de complexité, et l'ensemble pas super équilibré...mais honnêtement, j'aurais certainement dû le sampler celui là pour lui donner le temps de se faire apprécier !!
C'est un vénérable Clynelish de la belle époque, tout de même !!!!
ET toi, tu as "aimé" ?
a+
Je n'ai pas dégusté au Live mais je n'ai pas résisté à l'envie de tremper mes lèvres et mon nez dans ce Clynelish en effet. J'ai bien aimé mais je vais le déguster 'vraiment' un de ces jours, sans doute avec un Clynelish de la même époque et un Brora.
Tu as parfaitement raison quand tu dis 'les notes animales/fermières étaient plus marquées que les notes fruitées'. C'est bien ça !
Héhé, quelle saga !antoine a écrit :quand je dis léger, je veux dire qu'il passe pour moi aussi bien apéro que digestif.. et que l'alcool était bien fondu..Serge a écrit :Deux petits commentaires :
- Antoine trouve le nouveau Brora 30 léger ? Euh...
- Clynelish 1973 Prestonfield, pas Clynelish à mon avis, mais Brora. 'Trop' tourbé et pas assez sur les fruits frais pour être un vieux Clynelish à mon humble avis. Ou alors, à la limite, du mash destiné à Brora distillé à Clynelish.
et tu me rassures pour le Clynelish , moi qui pensais enfin les apprécier à leur juste valeur , encore un coup dns l'eau
Vite fait, mes impressions :
Dans les tous meilleurs en dégustation libre :
- Longmorn 1972, franchement vu le prix j'en acheterai une.
- Brora 30ans, 5th. Je l'ai trouvé très tourbé.
- Laga 30ans, j'ai eu une dose vraiment correcte moi (coup de bol!) et il est vraiment différents des autres laga de la gamme, avec un développement en bouche
- Glen Keith G&M, une finale un peu sèche, mais une véritable explosion en bouche
Puis, viennent ensuite
- Glen Grant 57 G&M, le 56 était au dessus mais il me parait injustifié de ne pas reconnaitre les qualités de son petit frère
- Le dernier Ardbeg 90. A ce prix là, il n'y a pas beaucoup de rivaux.
- Port Ellen 6th c'est bon, point final.
- Caperdonich 33yo. Il sentait le pissenlit, les fleurs les fruits, dommage qu'il soit si léger.
- Benriach 1975 chez SV, le malt zéro défaut, avec comme qualité l'équilibre.
Déceptions
- Le Clynelish SV Prestonfield, je l'ai gouté à l'ouverture de la bouteille et il sentait la peinture fraiche
- Talisker 30ans, pas du tout au niveau du 20ans sherry. Quel intérêt ?
Hors catégorie
- Bowmore 64, un gentil monsieur du stand m'a tendu un verre en me disant "devine". En aveugle, j'ai dit Bowmore 66 DT, il m'a dit "pas loin, t'as le droit de gouter". Merci beaucoup !
- Highland Park 35ans OB au stand Begnoni. A mes yeux l'illustration parfaite de ce que sait faire cette distillerie. Du 25ans version exponentielle.
- Dalmore 20ans, toujours chez Giuseppe. Embouteillé dans le début des années 80. Complètement incroyable, multi-couches, du fruit, des fleurs. Un genre à part, ni bourbon ni sherry, pour moi une sensation nouvelle.
- Rosebank 20ans 80's, cask strenght. Là aussi, du lourd, en dessous des 3 ci dessus toutefois.
Dans les tous meilleurs en dégustation libre :
- Longmorn 1972, franchement vu le prix j'en acheterai une.
- Brora 30ans, 5th. Je l'ai trouvé très tourbé.
- Laga 30ans, j'ai eu une dose vraiment correcte moi (coup de bol!) et il est vraiment différents des autres laga de la gamme, avec un développement en bouche
- Glen Keith G&M, une finale un peu sèche, mais une véritable explosion en bouche
Puis, viennent ensuite
- Glen Grant 57 G&M, le 56 était au dessus mais il me parait injustifié de ne pas reconnaitre les qualités de son petit frère
- Le dernier Ardbeg 90. A ce prix là, il n'y a pas beaucoup de rivaux.
- Port Ellen 6th c'est bon, point final.
- Caperdonich 33yo. Il sentait le pissenlit, les fleurs les fruits, dommage qu'il soit si léger.
- Benriach 1975 chez SV, le malt zéro défaut, avec comme qualité l'équilibre.
Déceptions
- Le Clynelish SV Prestonfield, je l'ai gouté à l'ouverture de la bouteille et il sentait la peinture fraiche
- Talisker 30ans, pas du tout au niveau du 20ans sherry. Quel intérêt ?
Hors catégorie
- Bowmore 64, un gentil monsieur du stand m'a tendu un verre en me disant "devine". En aveugle, j'ai dit Bowmore 66 DT, il m'a dit "pas loin, t'as le droit de gouter". Merci beaucoup !
- Highland Park 35ans OB au stand Begnoni. A mes yeux l'illustration parfaite de ce que sait faire cette distillerie. Du 25ans version exponentielle.
- Dalmore 20ans, toujours chez Giuseppe. Embouteillé dans le début des années 80. Complètement incroyable, multi-couches, du fruit, des fleurs. Un genre à part, ni bourbon ni sherry, pour moi une sensation nouvelle.
- Rosebank 20ans 80's, cask strenght. Là aussi, du lourd, en dessous des 3 ci dessus toutefois.
Tout simplement pas vu le Bunnha DT !
Je n'ai gouté que le SV et je n'ai pas du tout aimé.
Il y a aussi deux déceptions :
- Après 20minutes à taper la causette avec Andrew Symington au stand SV, je vois une bouteille (ouverte) un peu en retrait. Je pose des questions sur ses récents embouteillages, ses finitions Edradour etc.. et je lui demande enfin ce qu'est cette fameuse bouteille. Il me répond "Springbank". Je pense au Springbank 1970, je lui demande la permission de le gouter et il me répond "later". Très honnêtement, j'ai été surpris et déçu de sa réaction.
- Chez Balblair, il m'ont dit que le 38ans ne serait dispo que le lendemain (dimanche). Alors que c'est le fleuron de la marque. Pourquoi faire des distinctions entre les deux journées ?
C'est tout, le reste était pur bonheur, et il en faut bien plus que ça pour ternir une journée qui était une véritable réussite. Chapeaux bas messieurs les organisateurs.
Je n'ai gouté que le SV et je n'ai pas du tout aimé.
Il y a aussi deux déceptions :
- Après 20minutes à taper la causette avec Andrew Symington au stand SV, je vois une bouteille (ouverte) un peu en retrait. Je pose des questions sur ses récents embouteillages, ses finitions Edradour etc.. et je lui demande enfin ce qu'est cette fameuse bouteille. Il me répond "Springbank". Je pense au Springbank 1970, je lui demande la permission de le gouter et il me répond "later". Très honnêtement, j'ai été surpris et déçu de sa réaction.
- Chez Balblair, il m'ont dit que le 38ans ne serait dispo que le lendemain (dimanche). Alors que c'est le fleuron de la marque. Pourquoi faire des distinctions entre les deux journées ?
C'est tout, le reste était pur bonheur, et il en faut bien plus que ça pour ternir une journée qui était une véritable réussite. Chapeaux bas messieurs les organisateurs.
Interessant ces commentaires sur les whiskies 'de dessous de table' ou les whiskies qu'on fait deguster "plus tard" (peut etre en esperant que le visiteur se lassera peut etre)
et a mon avis ceci relativise un peu ce qui a ete bcp critique ici a propos du service de doses 'homeopathiques' de whiskies rares de la part de mes collegues (et amis) de Diageo/Classic Malts
Je sais qu'ils sont assez grands pour s'expliquer tout seuls, mais je pense que ce qu'il s'est passe, c'est qu'ils ont essaye de contenter le plus grand nb d'amateurs... en finissant par en fruster la plupart, mais pas par pingrerie, plus par souci d'equite.
Je me rappelle avoir ete dans une situation comparable et delicate il y a qqs annees lors du lancement du Talisker 18: bouteilles recues in exremis, et juste la moitie de la quantite initialement prevue. On a servi des doses 'genereuses mais raisonnables' (1.5 cl env) mais on s'est retrouve a sec tres rapidement. Au grand mecontentement des amateurs qui etaient venus pour ce whisky.
Je crois donc que mes collegues ont peche par generosite !
En tout cas sur leur stand, pas de bouteilles reservees, de carte blanche a montrer ou quoi que ce soit... toutes les bouteilles de leur gamme etaient ouvertes a la degustation.
et a mon avis ceci relativise un peu ce qui a ete bcp critique ici a propos du service de doses 'homeopathiques' de whiskies rares de la part de mes collegues (et amis) de Diageo/Classic Malts
Je sais qu'ils sont assez grands pour s'expliquer tout seuls, mais je pense que ce qu'il s'est passe, c'est qu'ils ont essaye de contenter le plus grand nb d'amateurs... en finissant par en fruster la plupart, mais pas par pingrerie, plus par souci d'equite.
Je me rappelle avoir ete dans une situation comparable et delicate il y a qqs annees lors du lancement du Talisker 18: bouteilles recues in exremis, et juste la moitie de la quantite initialement prevue. On a servi des doses 'genereuses mais raisonnables' (1.5 cl env) mais on s'est retrouve a sec tres rapidement. Au grand mecontentement des amateurs qui etaient venus pour ce whisky.
Je crois donc que mes collegues ont peche par generosite !
En tout cas sur leur stand, pas de bouteilles reservees, de carte blanche a montrer ou quoi que ce soit... toutes les bouteilles de leur gamme etaient ouvertes a la degustation.