Question de chimie
Modérateur : Modérateurs
Non justement, tout le charme complexe vient de là : je n'ai à ce jour pas identifié de type de whiskies bien particulier qui se comporte de telle ou telle autre manière avec ajout d'eau.
La seule "conclusion sûre" à laquelle je sois arrivé, est qu'en général (du moins selon mes propres expériences et mon ressenti) le bourbon se marie mieux à l'eau que le sherry.
J'hésite trrrrrès fortement à ajouter ne serait-ce que 2 ou 3 gouttes d'eau à un vieux malt sherry butt, à vrai dire je ne le fais pas sauf s'il m'arrache la gueule et que je ne peux pas faire autrement pour essayer de mieux l'apprécier (c'est par ex. le cas de L'Aberlour A Bunadh' et de l'Old Pulteney Millenium).
Et puis il y a le paramètre très important de la consistance, de la densité. Si je trouve mon malt très corpulent et dense, j'y ajouterais plus volontiers un petit filet l'eau (si j'en juge l'utilité) que si au contraire il me semble avoir un corps mince et une texture déjà marquée par la dilution...
Le pb concerne souvent les mélanges de bourbon/sherry, car là... quel sera l'effet d'un ajout d'eau ?... mystère et sucre d'orge !!...
Steph
La seule "conclusion sûre" à laquelle je sois arrivé, est qu'en général (du moins selon mes propres expériences et mon ressenti) le bourbon se marie mieux à l'eau que le sherry.
J'hésite trrrrrès fortement à ajouter ne serait-ce que 2 ou 3 gouttes d'eau à un vieux malt sherry butt, à vrai dire je ne le fais pas sauf s'il m'arrache la gueule et que je ne peux pas faire autrement pour essayer de mieux l'apprécier (c'est par ex. le cas de L'Aberlour A Bunadh' et de l'Old Pulteney Millenium).
Et puis il y a le paramètre très important de la consistance, de la densité. Si je trouve mon malt très corpulent et dense, j'y ajouterais plus volontiers un petit filet l'eau (si j'en juge l'utilité) que si au contraire il me semble avoir un corps mince et une texture déjà marquée par la dilution...
Le pb concerne souvent les mélanges de bourbon/sherry, car là... quel sera l'effet d'un ajout d'eau ?... mystère et sucre d'orge !!...
Steph
avec plaisir, c fait pour ça un forumJe te remercie de ta réponse.
Heu... si tu le dis !?... :?Elle a le mérite d'être parfaitement claire.
Ca c vrai... et qui continue à en faire !...De plus elle traduit l'expérience de quelqu'un qui a fait ses propres essais.
Tout à fait Alain.La conclusion que j'en tire est qu'il faut que je me fasse moi-même ma religion.
en fait, tu pourrais peut-être monter une secte genre "Aux sources du Malt", "Saint Patrick aussi aimait l'eau", ou que sais-je... y a même sûrement un bon filon commercial à exploiter je le sens !! :D
a+
Steph
- Gilles Le Capitaine
- Distillateur
- Messages : 375
- Inscription : 11 févr. 2005, 16:05
Je m'aperçois en lisant différents sujets liés à la dégustation que nombres de forumeurs diluent voire dilueraient leur whisky parce que le degré d'embouteillage s'en trouve élevé, j'en suis surpris...
- A mon avis, il y a un manque de réflexion et je cite Stéphane à juste titre : " J'hésite trrrrrès fortement à ajouter ne serait-ce que 2 ou 3 gouttes d'eau à un vieux malt sherry butt, à vrai dire je ne le fais pas sauf s'il m'arrache la gueule et que je ne peux pas faire autrement pour essayer de mieux l'apprécier (c'est par ex. le cas de L'Aberlour A Bunadh' et de l'Old Pulteney Millenium). "
- Il est clair que l'addition de 2 à 3 gouttes d'eau dans un vieux malt sherry butt risque bel et bien de le " flinguer " tout comme ouvrir une bouteille de vin d'au moins 12-15 ans, provenant par exemple d'un 1er ou d'un second cru classé du Bordelais, 3-4 heures à l'avance relève de - l'hérésie !
- J'imagine que Stéphane adopte pour la dégustation, un verre à pied de forme tulipe... dans cet exemple, c'est de nouveau la température de service qui n'est pas adéquate, c'est-à-dire élevée = brûlure.
L'Aberlour A Bunadh', je l'ai découvert la toute première fois au WL en septembre dernier, il est tout à fait " drinkable " toute température de dégustation gardée, comme dirait Serge.
Le mot de la fin serait : Les Vins, les Whiskies = même combat.
Gilles.
- A mon avis, il y a un manque de réflexion et je cite Stéphane à juste titre : " J'hésite trrrrrès fortement à ajouter ne serait-ce que 2 ou 3 gouttes d'eau à un vieux malt sherry butt, à vrai dire je ne le fais pas sauf s'il m'arrache la gueule et que je ne peux pas faire autrement pour essayer de mieux l'apprécier (c'est par ex. le cas de L'Aberlour A Bunadh' et de l'Old Pulteney Millenium). "
- Il est clair que l'addition de 2 à 3 gouttes d'eau dans un vieux malt sherry butt risque bel et bien de le " flinguer " tout comme ouvrir une bouteille de vin d'au moins 12-15 ans, provenant par exemple d'un 1er ou d'un second cru classé du Bordelais, 3-4 heures à l'avance relève de - l'hérésie !
- J'imagine que Stéphane adopte pour la dégustation, un verre à pied de forme tulipe... dans cet exemple, c'est de nouveau la température de service qui n'est pas adéquate, c'est-à-dire élevée = brûlure.
L'Aberlour A Bunadh', je l'ai découvert la toute première fois au WL en septembre dernier, il est tout à fait " drinkable " toute température de dégustation gardée, comme dirait Serge.
Le mot de la fin serait : Les Vins, les Whiskies = même combat.
Gilles.
Il me semle que l'on confond deux choses bien différentes, et je voudrai mettre l'accent sur un distingo ;
Une chose est de diluer son whisky avec de l'eau : je pense que c'est en général une excellente chose pour des whiskies simples. Qui a fréquenté un tant soit peu les pubs populaires d'Ecosse sait qu'il y a des pichets d'eau sur toutes les tables, et que les écossais les utilisent abondamment, ou remplacent l'eau par des trucs gazeux, ou encore consomment à côté de leur dram une pinte de bière en même temps.
Ceci nous renvoie à l'histoire : le whisky, c'est de la bière distillée, mais c'st d'abord la bière que l'on avait produite pour la boire. Il n'y a pas d'autre façon de conserver la bière après le printemps que de la distiller, jusqu'à Pasteur. On buvait de la bière d'orge en Ecosse, et ce que je trouve regrettable au passage, c'est que cela soit (presque) perdu, et si peu connu.
Ainsi distillée, notre bière se conserve, et, quoi de plus naturel que de la re-détendre avec de l'eau pour la boire, dans un pays où il n'y a pas d vin. Bien sûr, on la buvait aussi pure, surtot à l'occasion de fêtes ou de rencontres amicales.
Il y aurait à chercher autours de cette piste pour refaire du whisky dilué la boisson de table qu'elle a pu être à l'origine. Et cela renvoie au mariage des whiskies avec les plats.
Une autre chose est de couper d'un "trait" d'eau le whisky pour en épanouir le bouquet. Qui n'a pas constaté cet effet qui se produits dans le pluspart des whiskies, mais aussi des cognacs et autres alcools ?
En ce qui me concerne, j'ai eu deux maîtres éminents en la matière : le premier était James Howatt, l'associé puis le successeur à la tête de Morisson Bowmore du fondateur de l'entreprise. Un homme d'une grande "pointure" qui me faisait mettre un trait d'eau y compris dans les drams les plus vénérables.
Le second était un journaliste du Decanter Magazine qui m'invectiva violemment lorsqu'au début des années 1980, je refusai le trait d'eau au malt des années 1950, que nous dégustion ensemble.
Un "trait" de barman (cf un trait d'Angostura dans la recettes de nombreux cocktails) est la dose que libère le capuchon percé d'un trou de grossse aiguille de la fiole d'Angostura ou de Tabasco quand on la secoue au dessus du verre. Techniquement, cela représente quelques gouttes, et une goutte d'eau, c'est entre 1/200 et 1/100 centilitre selon la grosseur du trou dans le capuchon de la fiole de Tabasco par exemple.
Donc, pour fixer les idées, on va dire que notre trait d'eau fait un dixième de centilitre (10 gouttes de 1/100 de cl).
Si notre dram fait 2 cl, ony rajoute donc un vingtième d'eau, c'est à dire qu'on baisse le degré de 4%, donc de 43 à un peu plus de 41, par exemple.
Il ne s'agit donc pas à proprement parler d'une dilution.
En liquoristerie on sait que dès que l'on touche un tant soit peu un produit alcoolisé, dans un premier temps il s'exprime fortement, puis au bout de quelques heures ou quelques jours, il se calme à nouveau.
Sans pouvoir le prouver, je pense que c'est cela qui se produits lorsque l'on met un trait d'eau dans un whisky pour en faire sortir les arômes.
En tous cas, il ne s'agit en aucun cas d'une dilution mais plutôt d'un choc, qui, dans bien des cas, s'avère très positif pour la dégustation.
Dans les deux cas, il y a des expériences à faire et des choses à trouver. Tandis que l'ajout d'un "trait" d'eau réveille un whisky de sa quiétude, la dikution des whiskies (lesquels, et dilués de combien) peut pour moi représenter une piste pour boire le whisky à table, à l'instar du Saké par exemple. C'est en tous cas une piste légiime, car c'est vraisemblablement la vérité historique du produit.
Une chose est de diluer son whisky avec de l'eau : je pense que c'est en général une excellente chose pour des whiskies simples. Qui a fréquenté un tant soit peu les pubs populaires d'Ecosse sait qu'il y a des pichets d'eau sur toutes les tables, et que les écossais les utilisent abondamment, ou remplacent l'eau par des trucs gazeux, ou encore consomment à côté de leur dram une pinte de bière en même temps.
Ceci nous renvoie à l'histoire : le whisky, c'est de la bière distillée, mais c'st d'abord la bière que l'on avait produite pour la boire. Il n'y a pas d'autre façon de conserver la bière après le printemps que de la distiller, jusqu'à Pasteur. On buvait de la bière d'orge en Ecosse, et ce que je trouve regrettable au passage, c'est que cela soit (presque) perdu, et si peu connu.
Ainsi distillée, notre bière se conserve, et, quoi de plus naturel que de la re-détendre avec de l'eau pour la boire, dans un pays où il n'y a pas d vin. Bien sûr, on la buvait aussi pure, surtot à l'occasion de fêtes ou de rencontres amicales.
Il y aurait à chercher autours de cette piste pour refaire du whisky dilué la boisson de table qu'elle a pu être à l'origine. Et cela renvoie au mariage des whiskies avec les plats.
Une autre chose est de couper d'un "trait" d'eau le whisky pour en épanouir le bouquet. Qui n'a pas constaté cet effet qui se produits dans le pluspart des whiskies, mais aussi des cognacs et autres alcools ?
En ce qui me concerne, j'ai eu deux maîtres éminents en la matière : le premier était James Howatt, l'associé puis le successeur à la tête de Morisson Bowmore du fondateur de l'entreprise. Un homme d'une grande "pointure" qui me faisait mettre un trait d'eau y compris dans les drams les plus vénérables.
Le second était un journaliste du Decanter Magazine qui m'invectiva violemment lorsqu'au début des années 1980, je refusai le trait d'eau au malt des années 1950, que nous dégustion ensemble.
Un "trait" de barman (cf un trait d'Angostura dans la recettes de nombreux cocktails) est la dose que libère le capuchon percé d'un trou de grossse aiguille de la fiole d'Angostura ou de Tabasco quand on la secoue au dessus du verre. Techniquement, cela représente quelques gouttes, et une goutte d'eau, c'est entre 1/200 et 1/100 centilitre selon la grosseur du trou dans le capuchon de la fiole de Tabasco par exemple.
Donc, pour fixer les idées, on va dire que notre trait d'eau fait un dixième de centilitre (10 gouttes de 1/100 de cl).
Si notre dram fait 2 cl, ony rajoute donc un vingtième d'eau, c'est à dire qu'on baisse le degré de 4%, donc de 43 à un peu plus de 41, par exemple.
Il ne s'agit donc pas à proprement parler d'une dilution.
En liquoristerie on sait que dès que l'on touche un tant soit peu un produit alcoolisé, dans un premier temps il s'exprime fortement, puis au bout de quelques heures ou quelques jours, il se calme à nouveau.
Sans pouvoir le prouver, je pense que c'est cela qui se produits lorsque l'on met un trait d'eau dans un whisky pour en faire sortir les arômes.
En tous cas, il ne s'agit en aucun cas d'une dilution mais plutôt d'un choc, qui, dans bien des cas, s'avère très positif pour la dégustation.
Dans les deux cas, il y a des expériences à faire et des choses à trouver. Tandis que l'ajout d'un "trait" d'eau réveille un whisky de sa quiétude, la dikution des whiskies (lesquels, et dilués de combien) peut pour moi représenter une piste pour boire le whisky à table, à l'instar du Saké par exemple. C'est en tous cas une piste légiime, car c'est vraisemblablement la vérité historique du produit.
Superbe démonstration.
Voilà un de ces messages qui ouvrent la porte à des tas d'intéressantes discussions.
Le whisky remis à sa place historique...
D'ici quelques générations, on va boire les sirops Teisseire sans dilution, avant de se rendre compte après des décennies que le but était à l'origine de le diluer.
Au fait, Bottler, y a-t-il des raisons objectives pour lesquelles les pastis sont toujours dilués (du moins je n'ai jamais connu qu'un alcolo britanique qui ne le diluait pas...)
C'est un peu le même principe si j'ai bien compris.
Voilà un de ces messages qui ouvrent la porte à des tas d'intéressantes discussions.
Le whisky remis à sa place historique...
D'ici quelques générations, on va boire les sirops Teisseire sans dilution, avant de se rendre compte après des décennies que le but était à l'origine de le diluer.
Au fait, Bottler, y a-t-il des raisons objectives pour lesquelles les pastis sont toujours dilués (du moins je n'ai jamais connu qu'un alcolo britanique qui ne le diluait pas...)
C'est un peu le même principe si j'ai bien compris.
Slainte Mhath
https://www.travel-video.info
Vimeo: https://vimeo.com/jmputz
Paypal:jmputz@whisky-distilleries.info
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Jer ne suis pas sûr que l'exemple des sirops Teisseire soit réellement en situation, mais au fond, c'est un peu le même problème : les enfants demandent souvent qu'on leur ajoute du sirop pour qu'il y ait plus de goût.jmputz a écrit :Superbe démonstration.
Voilà un de ces messages qui ouvrent la porte à des tas d'intéressantes discussions.
Le whisky remis à sa place historique...
D'ici quelques générations, on va boire les sirops Teisseire sans dilution, avant de se rendre compte après des décennies que le but était à l'origine de le diluer.
Au fait, Bottler, y a-t-il des raisons objectives pour lesquelles les pastis sont toujours dilués (du moins je n'ai jamais connu qu'un alcolo britanique qui ne le diluait pas...)
C'est un peu le même principe si j'ai bien compris.
En Provence, les fanas du pastis le boivent aujourd'hui servi "à la provençale", c'est à dire très concentré, beaucoup plus concentré que ne le préconisent les fabricants.
Initialement, le pastis est un adjuvant de l'eau, mais on a beaucoup de mal à essayer de faire revenir à cette façon de consommer. Nous sommes producteurs de pastis, et, pour contrer cette tendance à la concentration, nous esayons de renforcer ses arômes en utilisant des composition complexes de plantes aromatiques macérées ou distillées qui le rendent plus goûteux et et complexe afin de pouvoir l'apprécier aussi très allongé.
Ma mère me faisait prendre une petite cuillère de pastis pur quand j'avais mal au ventre étant enfant c'etait efficace mais je ne sais pas à quel niveau, le ventre ou la tête. bon rien a voir avec la discussion tres interessante de Bottlerjmputz a écrit :Au fait, Bottler, y a-t-il des raisons objectives pour lesquelles les pastis sont toujours dilués (du moins je n'ai jamais connu qu'un alcolo britanique qui ne le diluait pas...)
Sacha
Très instructive démonstration de Bottler.
Je me rappelle il y a quelques mois avoir participé à un whisky dinner ( avec pour fil conducteur Dewar Rattray ).
Lors de ce dinner, Maie m'avait incité à diluer mon whisky presque de moitié... ce qui m'avait paru au début une hérésie et surtout je pensais que le résulat serait beaucoup trop noyé, insipide... toute l'assemblée a eu la même réaction que moi...
Mais devant l'empressement de Maie, j'ai donc dilué tout mes whiskies de la soirée... et quelle ne fût pas ma surprise de constater que cette alliance plat/whisky dilué était très intéressante et permettait tant au plat qu'au whisky de s'expliquer pleinement...
Bien entendu à ne faire que pour les whiskies que l'on boit réellement lors d'un repas... C'est aussi vrai que à part les whiskydinners, il ne me vient jamais à l'idée de boire du whisky à table...
C'est une expérience à faire et le résultat n'est pas aussi fou que l'on pourrait le croire... Entendu aussi que l'on dénature le whisky, mais dans le but de profiter d'une alliance, sinon sans dilution le whisky vient par trop étouffer tout le reste ( donc autant le boire seul dans ce cas-là )
Voilà
Je me rappelle il y a quelques mois avoir participé à un whisky dinner ( avec pour fil conducteur Dewar Rattray ).
Lors de ce dinner, Maie m'avait incité à diluer mon whisky presque de moitié... ce qui m'avait paru au début une hérésie et surtout je pensais que le résulat serait beaucoup trop noyé, insipide... toute l'assemblée a eu la même réaction que moi...
Mais devant l'empressement de Maie, j'ai donc dilué tout mes whiskies de la soirée... et quelle ne fût pas ma surprise de constater que cette alliance plat/whisky dilué était très intéressante et permettait tant au plat qu'au whisky de s'expliquer pleinement...
Bien entendu à ne faire que pour les whiskies que l'on boit réellement lors d'un repas... C'est aussi vrai que à part les whiskydinners, il ne me vient jamais à l'idée de boire du whisky à table...
C'est une expérience à faire et le résultat n'est pas aussi fou que l'on pourrait le croire... Entendu aussi que l'on dénature le whisky, mais dans le but de profiter d'une alliance, sinon sans dilution le whisky vient par trop étouffer tout le reste ( donc autant le boire seul dans ce cas-là )
Voilà
Slainthe math
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The Nectar : Sharing Passion
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The Nectar : Sharing Passion
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Merci encore pour toutes ces infos Bottler.
Je suis content de voir que grosso modo ma façon de concevoir l'ouverture et la dilution d'un whisky, ainsi que l'accompagnement à table, semble "correcte".
Et je l'avoue, je fais partie des personnes qui l'été allongent un peu moins leur pastaga que préconisé
Stéphane
Je suis content de voir que grosso modo ma façon de concevoir l'ouverture et la dilution d'un whisky, ainsi que l'accompagnement à table, semble "correcte".
Et je l'avoue, je fais partie des personnes qui l'été allongent un peu moins leur pastaga que préconisé
Stéphane
Eh bien cette "démonstration" répond à la question que je me posais hier à savoir pourquoi je ne parvenais pas à trouver un malt en adéquation avec mes plats. Quand au trait d'eau qui permet de libérer les arômes... je ne suis toujours pas convaincu. Mes malts je les préfère "nature" (ce n'est que mon avis)!
Tony
Tony