Hello,
J’avais acheté cette bouteille il y a pas mal d’années, sans trop savoir ce que c’était, surtout attiré par le fait que c’est un Caol Ila.
Je viens... enfin... d’ouvrir la bouteille. C’est un CS, OB, sans tourbe, embouteillé pour honorer la carrière de M. Stitchell, qui a toujours bossé chez Caol Ila.
Je pense que c’est typiquement le type de whisky qui va s’ouvrir et évoluer au fil des semaines. Un style plutôt rare, que j’apprécie vraiment ces temps. Il m’a fait penser à un Hazelburn (c’est un compliment car les H. sont parmi mes whiskies préférés). Miam, j’ai bien fait de l’ouvrir.
Vous avez déjà goûtés à ce style de whiskies? Il y a une bouteille qui vous semble sortir du lot?
Caol Ila Stitchell reserve
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Caol Ila Stitchell reserve
Mon trio de cœur depuis des années:
Springbank, Bruichladdich et Glenfarclas.
Celles sur lesquelles je vais travailler avant d’élargir peut-être mes distilleries coup de cœur?
Mortlach, Craigellachie et bien sûr, j’oubliais, Bladnoch.
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- juju cassoulet
- Maître distillateur
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- Inscription : 28 juin 2015, 22:59
Re: Caol Ila Stitchell reserve
Tu as le lien WB ?
Re: Caol Ila Stitchell reserve
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Mortlach, Craigellachie et bien sûr, j’oubliais, Bladnoch.
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Re: Caol Ila Stitchell reserve
Quoique j’ai pu dire , certains whiskies se goûtent bien le matin, à mon avis. Il y a longtemps, je dégustais d’ailleurs surtout le matin.
Bref, tout ça pour dire que je me suis refais un dram de ce Caol Ila unpeated. Un air de famille avec Hazelburn, mais aussi dans une certaine mesure avec Bruichladdich the Laddie (ce dernier est quand même plus sucré et donc facile d’accès) et, d’après mes lointains souvenirs, avec les anciennes bouteilles (je n’ai pas goûté les versions actuelles) de Jura 10 et peut-être Bunnhabhain 12 (quoique, à mon souvenir le Bun était plus salé), ...
et même un certain cousinage avec Daftmill. Oui car avec un peu d’eau, en couvrant le verre et le laissant reposer 10-15min, il y a des notes prononcées de céréales qui apparaissent, presque de pain d’épices comme chez Daftmill (l’exemplaire que je connais).
C’est un whisky qui demande beaucoup d’attention. On peut facilement passer à côté. Au début, dans le verre, il est surtout très « clean » et relativement iodé, avec des vapeurs d’alcool.
En y prêtant toute l’attention nécessaire, je trouve que c’est un single malt intéressant, qui sort de l’ordinaire. Bon, pas très complexe. Dans le même style, la gamme Hazelburn me semble plus complexe et profonde.
Bref, tout ça pour dire que je me suis refais un dram de ce Caol Ila unpeated. Un air de famille avec Hazelburn, mais aussi dans une certaine mesure avec Bruichladdich the Laddie (ce dernier est quand même plus sucré et donc facile d’accès) et, d’après mes lointains souvenirs, avec les anciennes bouteilles (je n’ai pas goûté les versions actuelles) de Jura 10 et peut-être Bunnhabhain 12 (quoique, à mon souvenir le Bun était plus salé), ...
et même un certain cousinage avec Daftmill. Oui car avec un peu d’eau, en couvrant le verre et le laissant reposer 10-15min, il y a des notes prononcées de céréales qui apparaissent, presque de pain d’épices comme chez Daftmill (l’exemplaire que je connais).
C’est un whisky qui demande beaucoup d’attention. On peut facilement passer à côté. Au début, dans le verre, il est surtout très « clean » et relativement iodé, avec des vapeurs d’alcool.
En y prêtant toute l’attention nécessaire, je trouve que c’est un single malt intéressant, qui sort de l’ordinaire. Bon, pas très complexe. Dans le même style, la gamme Hazelburn me semble plus complexe et profonde.
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